Cette série est mon interprétation en images d’un passage du livre de Stephan Zweig,Vingt-quatre heures       de la vie d’une femme. Ce passage décrit la gestuelle des mains d'un joueur de cartes compulsif, dont l'héroïne tombe amoureuse sans entrevoir son visage. Ce texte m’est cher dans la mesure où il évoque une certaine fragilité, fébrilité, nervosité, qui est transcrite par le corps. 
L’expression des mains devient portrait.
Back to Top