Cette série est la suite de Enfance I mais c’est un travail à part entière. La couleur est remplacée par le noir et blanc, les visages sont décalés et communiquent entre eux. Grâce à la technique du transfert l’image est diluée et apparaît comme fantomatique. Ici j’aborde la notion de mémoire d’une enfance parfois enfouie ou oubliée mais qui quoi que l’on face subsiste et revient de temps en temps nous hanter.













